dimanche 1 novembre 2015

Mourir

J'ai peur de mourir sans avoir raconter ma vie. Ma jeunesse. Ces petits instants que tu ne veux pas oublier. La première fois que tu fais l'amour, la première fois que tu tombes follement amoureuse, la première fois que tu fugue de la maison familiale, la première fois que tu te soûle, la première fois que tu fumes un joint. La première année au Cégep, le premier voyage en avion, le premier... la première... Le premier travail, la première "round" de bus. Le mail St-Roch, "La Chaussetterie", ta première St-Jean Baptiste, ton premier mariage, ta première grossesse... Ton voyage de coopération international, ta langue espagnol seconde, ta langue allemande, ton anglais... Son premier parfum, l'odeur de sa peau, la senteur de son manteau... Et la musique. Et la musique! Et les nuits, en talons hauts. Et la danse. Sur les hauts-parleurs du Dagobert? Et oui madame, sur les hauts-parleurs. Et la bière caché dans le sac à main, et à boire dans l'abri-bus. Et le pop-corn au cinéma de Paris de Québec. Direct chaud dans le sac à main. 1 $ ça coûtait pour voir un film. Et le Wendy's. Quatre-vingt dix-neuf cent pour un hamburger... Et oui. J'ai une longue histoire derrière moi et je n'ai plus personne à qui le raconter. Et Dolly. Dolly, ma Dodi d'amour. J'ai besoin d'une amie. J'ai besoin d'une amie! J'ai tant à raconter. Je me sens comme grand-papa qui me racontait toutes sortes d'histoires...

samedi 3 octobre 2015

Liberté

Qui sait parmi vous ce qu'est de vivre derrière des barreaux? De savoir que de sortir à l'extérieur est un cadeau? Que même si vous pouvez manger et prendre une douche en dedans, ne remplacera jamais de sentir le vent sur les joues. Prendre un grand respire et constater que l'automne est à nos pieds. Qui parmi vous avez connu l'internat pour savourer ce qu'est la liberté?

mardi 1 septembre 2015

Suicide d'Yvon Ricard


Yvon Ricard, je ne le connais pas du tout
Je ne l'ai jamais rencontré, ni entendu
Sauf dans l'actualité ces derniers jours
J’espérais ne pas être celui que j'ai vu

Ce vidéo de la tragédie de Mégantic
Qui m'avait tellement bouleversé
Avec toute l’importance médiatique
J'ai déduis que c'était lui qui s'est suicidé

Ça m'attriste personnellement indirectement
Le suicide, la pensée du "J'en ai tellement assez!"
"Tout va bien! Ne vous inquiétez pas vraiment..."
Et au fond, avoir rien qui remplit ce vide creusé

Que la Paix ait soins de son Âme blessé
Maintenant que la douleur s'est apaisée
Il est calme, reposé, et sans trop de soucis
Surement plus libre de vivre heureux à l'infini

lundi 3 août 2015

L'alcoolique

Midi passé, tu te dis qu'il est temps de débuter
Pour finir le plus tôt possible avant la nuit tombée
Un verre, deux, un coke, un rhum, l'ivresse arrive
Quel bonheur! Je sens en moi l'énergie positive

Je suis capable de faire le ménage d'un seul coup
Je suis capable de sourire et d'avoir un rire fou
Je me détends, j'arrive à relaxer sans anxiété
Je suis en harmonie avec mon autre personnalité

Et la nuit venue, j'ai envie de musique, de poésie
J'ai les sentiments, les émotions du coeur à vif
Je me promets qu'à 3:00, je dois aller dormir
En sachant très bien que 4:00 va me venir

Tout ce cirque me sert à quoi? Je suis seule
Personne à mes côté pour rafraîchir ma gueule
La seule preuve d'existence que je suis en vie
C'est l'alcool qui me l'offre avec le gros prix

Où te caches-tu toi qui bois comme moi?
On pourrait partager ce je ne sais quoi
Mais surtout, sans rien dire en paroles
On comprendrait chacun de nos rôles

Alcool, je t'aime. Je sais que t'es mauvaise
Tu vas me tuer un jour, peut-être en rêve
Je n'arrive juste pas à me séparer de toi
Sachant que mon avenir dépend de toi

samedi 11 juillet 2015

Musique alcoolisée

Pourquoi ce moment me rend t-il si bien?
Que se passe t-il dans ma tête?
Je me sens si bien quand j'écoute certaine musique
Mais, pourquoi ça se passe ainsi?

Je ne comprends pas réellement
La seule chose que je sais c'est que musique et alcool
Vont si bien ensemble dans ma vie
Qu'ils prennent plus de place que n'importe quoi d'autres

Je t'aime "Musique"
Je t'aime aussi "Alcool"

Restez bien dans mon monde à moi
Ne me laissez pas seule car, je n'y survivrai pas
J'ai besoin de vous dans ma vie
Car sans vous, je ne suis rien

Sans vous, je ne vaux rien
Je n'ai aucune identité à laquelle m'accrocher
Mélodie, mélancolie, je t'aime
Goût sucré, alcoolisé, je t'aime

jeudi 11 juin 2015

Abandonné

Houwhaaaaaaaaaaaaaa. J'étais inscrite à un site web qui ne demande qu'on se confie en écriture. Depuis des mois, je m'y suis confié. Et j'ai réalisé que ma place n'était pas parmi eux. Ils ont critiqué mes paroles. Ils m'ont ramené à la réalité et je n'ai pas besoin de ça. La vie de tous les jours est tellement difficile que je n'ai pas besoin de savoir que ce que j'écris respecte ou pas des normes d'écriture. On s'en fou! Je m'en fou! L'important n'est pas ce qu'on me prive mais, ce que j'ai d'acquis. Et les mots qui dansent dans ma tête, les émotions ressentit entre deux phrases, seront toujours une partie de moi-même. Avec acharnement, je garderai, je respecterai d'écrire la vérité qui brûle mes doigts sur le clavier... Voulez-vous me suivre et connaître mes histoires?

dimanche 31 mai 2015

Aider et comprendre

Il n'est pas donné à tous d'aider et de comprendre les autres, naturellement. Pourtant, n'est-ce pas des besoins fondamentaux? Aimer son prochain, porter secours, avoir de l'empathie, aider d'une quelconque façon et comprendre en sachant écouter d'abord.

Un parent hospitalisé, en santé mentale, en soins palliatifs. Un(e) ami(e) d'enfance qui s'efface du décors, qui change complètement. Un animal errant qui crèche chez vous, victime d'abandon. Et entre tout ça, il y a vous. Vous qui essayez d'aider mais, qui ne comprenez pas comment il faut faire.

Sachez qu'aider ne signifie pas toujours de parler, de recommander, de suggérer. Aider, souvent, son prochain, c'est répondre à ses besoins. Il/elle a faim? Aider c'est lui donner à manger. Il/elle se sent seul(e)? Aider c'est être présent en personne ou par téléphone. Il/elle a froid dehors? Aider c'est lui offrir une couverture, un toit pour la nuit.

Aider est un réflex primaire et comprendre demande un effort supplémentaire. Les gens autour de nous ne savent pas écouter. Ils font semblant d'ouvrir leurs oreilles et d'écouter mais, écouter ne signifie pas, comprendre. Pourquoi ils ne posent pas plus de questions que ça? Pourquoi ils ne s'intéressent pas plus que ça à ce que l'on essaie de leur faire comprendre, entre deux phrases?

Montrez l'exemple en écoutant ce qui se passe devant vous. Écoutez-les raconter, crier, pleurer, dessiner, démontrer, exprimer. Et en retour, vous apprendrez, comprendrez comment mieux vous aider. C'est à travers l'aide et la compréhension d’autrui que vous découvrirez vos valeurs et ce qui vous motive dans la vie.

Amie

Fait beau, fait chaud. J'ai envie de t'inviter. Viens! On va bien s'amuser! On va relaxer dans ma cours ensoleillée, on va boire un bon vin, on va rigoler. On peut manger sur le BBQ si t'as faim! Mon fils de 3 ans est là, mais t'inquiète pas, il est super! On pourrait discuter de ce qui c'est passé dans nos vies dans les derniers jours. Tu me raconteras des anecdotes drôles, j'aime rire. Aussi, tu me parleras, si tu veux, d'animaux. J'adore les pigeons et les chats de race! Aussi, dis-moi quels shows de musique ou d'humour t'as déjà vu, explique-moi en détails des faits réels de ta vie, pas des histoires qui n'existent pas. Allez! Tu viens? ............................................... j'attends toujours. Tu n'es jamais venu car, tu n'existes pas. L'amie que tu pourrais être pour moi. Alors, je suis encore seule à la maison et je fais des bulles dehors avec mon fils de 3 ans. Il est super, c'est sure! Mais, il n'est pas TOI.

mardi 12 mai 2015

Maladie

Maudite maladie. Pourquoi je ne suis pas comme les gens normaux? Et ces gens, ils ont quoi vraiment comme règles, pour se sentir normaux? Mais même si j'essaie de me persuader que je suis normale, je sais que j'ai un problème. Je sais que j'ai une coche dans mon cerveau qui ne va pas bien. J'ai des obsessions. J'ai des dépendances. J'ai des problèmes psychologiques. Je suis consciente de tout ça et malgré mes efforts pour atteindre une réalité normale, je me retrouve toujours au point de départ. Celui où il faut passer "go". Je recommence sans cesse à essayer de recommencer. Tout revient au passé. Tout tourne autour de mes émotions. Tout est à remettre en question. Toute ma vie se défile devant mes yeux. J'ai l'impression de ne jamais vieillir sauf quand je prends  conscience de mes rides devant le miroir. Maudite putain de maladie. Tu fais de moi ce que je suis dans le moment présent. J'aimerais tellement être quelqu'un d'autre. À chaque fois que j'essaie, toi, maladie du péché, tu me rappel que je ne peux pas évoluer sans toi. Car, sans toi, je ne suis pas moi. Sinon, je serais née différente, peut-être comme mes ami(e)s, comme mes collègues, comme mes voisins. Mais bon, tu es présente, maladie. Mais grâce à toi, j'ai bu des litres et des litres d'alcool, fumé des tonnes de cigarettes, vécue d’innombrables soirées de poésie et ainsi, j'ai pu exprimer mes malaises. J'ai réussie à créer un blog, un site web, un journal de poèmes. J'ai ainsi réussi à extérioriser ce qui est inextériorisable. Mais, maudit que je te haïs quand même. J'ai rencontré des gens qui me sont chers et que j'ai quitté à cause de toi. J'ai eu des amours, à mourir de peine, des moments uniques que j'ai dû travailler dure pour oublier. La seule consolation que j'ai, c'est que je ne mourrai pas seule. Tu seras avec moi, dans ma tombe. On sera deux à débattre de qui sera mangé en premier par les vers. Si tu veux t'approprier un autre être, ne te gêne pas. En attendant, je vis avec toi, je vis pour toi car, je ne sais pas qui je suis sans toi.

dimanche 19 avril 2015

Moi, je suis là pour toi

Humm, ambiance de détraquée mentale. Vous savez ce que c'est? C'est remplit de musique, d'alcool et de mots. De mots qui fusionnent dans votre tête. De couleurs qui défilent devant vos yeux. De souvenirs qui envahissent vos pensées. C'est savoir que vous avez des responsabilités et ne voulez pas briser le rythme du moment présent. C'est être mélangé à tout moment dans un 24 heures. Pas savoir comment contrôler ses émotions, ses envies de faire des gestes répétitifs, ses colères, ses violences, ses envies de rire et de pleurer, et ce, tout en même temps. Je suis malade. Je suis malade! Le plus difficile c'est de le savoir et de ne pas savoir quoi faire pour être plus normale. J'essaie! Je parle moins fort. Je garde le calme dans un moment d'énervement. Je respire bien avant de poser un geste regrettable. Mais tout ceci fait de moi ce que je suis réellement. Et j'ai avec ce bagage lourd, une âme et un coeur qu'on envie. Je suis sensible. Je protège les miens et les autres. Je respecte la nature et les animaux. J'ai de l'empathie, de la compassion. J'ai de l'amitié à revendre et de l'amour à donner. Je suis telle que je suis née. La vie ne m'a pas sourit, mais m'a apprit à me connaître. Alors, à tous mes ami(e)s, je vous dis, malgré les obstacles, les difficultés rencontrées, sachez que vous êtes plus forts que ce que vous croyez. Avant de baisser les bras, souvenez-vous qu'il y a toujours quelqu'un de plus faible que vous qui s'est retroussé les manches et qui a prit les devants. Ne lâchez pas!

jeudi 9 avril 2015

Convalescence

Oh toi. Oh toi! Heureuse de te retrouver. Tu m'a manqué. Tellement! Oh my God! Si Dieu existe, et j'espère qu'il veille sur moi, je le remercie. Merci pour nous avoir réuni ce soir. Après ces quelques jours de séparations, j'ai été malade, je sais. J'ai "caller" l'ambulance c'est vrai. Maudit problème d'estomac qui ne peut supporter plus d'alcool. Je n'ai rien dit. J'ai été hospitalisé pour une journée. Et quatre jours ont suivi, malade, je n'ai pu être avec toi. Désolée d'avoir pris autant de distance, je n'avais pas le choix.

Oh toi. Oh toi! Quelle chance ai-je d'avoir ta visite. Ici, en ce moment, tu es là et c'est tout ce qui compte. Avec toi, je peux être moi-même. Je me sens vivre vraiment. Tu es ma meilleure amie. Celle qui ne pose pas de questions. Celle qui regarde ce que j'ai à dire. Celle qui écoute la même musique que moi. Celle qui écoute ce que j'ai à dire à voix basse.

Oh toi. Oh toi! Je te sens comme un parfum de printemps. Si choyée de t'avoir aussi près de moi. N'oublie pas que je t'aime de sentiments sincères. Que grâce à toi, je peux calmer mes troubles obsessionnels. J'arrive à sentir la paix parmi tous mes démons intérieurs. Je peux me concentrer sur l'écriture et oublier toutes mes tâches ménagères.

Malgré le fait que ça me coûte cher pour t'avoir à mes côtés, je préfère me ruiner et ne pas me sentir seule. Je préfère n'importe quel reproche, même si ça détruit d'autre amitié. Je comprend avec plaisir et soulagement, que tu n'y es pour pas grand chose. Tu t'offres à moi à petite dose et j'abuse de toi.

Oh toi. Oh toi! Aucune journée, soirée, avec toi n'est regretté. Sois toujours là lorsque mon verre est à moitié vide et à moitié rempli, je suis à l'écoute. Confie moi sans rétissance ce que ton esprit et ta tête ont en commun avec moi.

Oh toi. Oh toi! Qu'est-ce que je serais sans toi? Avec un peu moins de poésie, un peu moins de musique, un peu moins d'alcool, un peu moins de fumée. Je suis à tes pieds. Je suis esclave de ton goût sucré. Je suis dépendante de ton miel doré. Je t'aime comme on ne peut se passer de vivre sans dormir. Comme on ne peut vivre sans manger.

mercredi 8 avril 2015

J'ai trop bu

J'ai besoin d'aide mais, com" d'hab" y'a jamais personne qui est là. Oui oui, vous êtes là. Là sur les écrits, mais en personne, y'a personne. Qui va se déplacer chez nous pour me soutenir?

Il est 5:30 du matin et je n'ai pas envie de me coucher! Pauvre de moi, Encore seule. Seule avec mon clavier, mon rhum et l'ordi. Quelle galère!

Maudite maladie mentale. Pourquoi existe t-il des humains aussi défectueux que moi? Avec un trouble de personnalité? Pourquoi la vie ne s'est pas chargé de mettre fin à tout ça dès ma naissance? Les bébés "pas clean" ne devraient pas naîtrent.

Nul besoin de gens comme moi sur la terre. On devrait nous enchaîner. Nous électrocuter. On ne fait que pourir la vie des gens normaux. Qu'est-ce que vous attendez? Tuez-moi! TUEZ-MO!

Cher Journal, je te confie mes secrets. Je te livre mes idées les plus enfouient. Tu me lis et ne réponds à rien Je profite alors du moment pour te dire que je pense que je suis réellement malade. J'en suis consciente, malheureusement, et soit je vis avec cette perte ou soit j'y met fin.

Heureusement, j'ai l'alcool. Celle qui me fait oublier la notion du temps.Celle qui m'aide à exprimer ce que je ressens. Et qui, en même temps, me fait regretter de veiller aussi tôt. Advienne que pourra, je laisse traîner des mots sur une feuille de papier malgré le temps dépassé...

lundi 6 avril 2015

L'Étoile de la mort

Ahahaha! Quand on va mourir, y'a personne qui saura plus et comprendra comment on se sent en dedans. Y'a personne qui pourra dire devant notre tombe, le bien et le mal qu'on ressent au fond de notre coeur. Votre coeur, votre âme est remplit de votre "moi-même". Ceci vous appartient. Vous le partagez ou pas. Moi, je le distribue à volonté sur les réseaux sociaux et sur le web blog et vous savez quoi? Personne ne me comprends plus et je n'ai pas plus d'ami(e)s dans ma vie. Pourtant, POURTANT, mon désir le plus cher, c'est d'avoir quelqu'un à mes côtés. Quelqu'un de vrai sur qui compter, chaque jour. Quelqu'un qui arrive chez moi: "Salut Delsy!" Cette personne prend un café, s'assoit à table et jase avec moi. Sans limite de temps. Sans se presser et m'aide à gérer mon emploi du temps, maman à la maison.



On va s'aimer, on va danser!

Savoir danser n'est pas donné à tous. Et surtout pas à moi, à présent. J'ai déjà donné. Sur le plancher de danse, déhanchements, mouvements, rythmes, talons hauts. Bière et cigarette à la main, musique et adrénaline au corps.

Cacher des bouteilles d'alcool dans mon "Grand" sac à main des années "95. Oh que oui! Ça passait tellement bien! OMG! Une cigarette, deux, trois "Sex on the beach", quatrième garçon de la soirée...

Hummmm! J'adore! Je sens encore l'odeur du fumigène. Je vois, en levant les yeux, le lit de "laser". Je sens encore, sous mes coudes, le poids d'un comptoir, qui soutient. Qui ME soutient pour ne pas tomber par terre.

Et je vague vers la salle de bain. Oh! Celle-là est barrée. Celle-ci est prise. Ok celle-là ne se barre pas mais, JE M'EN FOU! Je veux juste faire "pipi" et me reconcentrer. Ok Delsy, ne bois pas trop vite. Respire. Fini de pisser en fixant le sol.

Ok, et c'est repartit pour la nuit! Euhhhh pour la vie? "Ah oui? Tu dis quoi? On va où?" Je ne comprends rien et JE M'EN FOU! Stop. Le taxi s'arrête. Je n'ai rien à payer, comme invité, je me sens choyée. Mais il n'en est rien. Ce n'est que 20 ans plus tard que j'ai compris quel objet j'ai servi.

On va s'aimer, on va danser. Je dirais plutôt, on devrait danser et ensuite, on pourrait s'aimer. Mais moi, j'ai opté pour aimer en premier. Je t'aime si tu me regardes, me désire. "Tu veux danser?" Avec toute une valise de phrases précédées de tiret, veux-tu danser avec moi s'il te plaît?


jeudi 12 mars 2015

Croyance en Dieu

J'aimerais bien croire... avoir un soutien, une béquille. Être persuadé que Dieu existe. Prier chaque jours. Me lever le matin et dire merci à Dieu d'être toujours en vie et d'avoir la chance que j'ai. D'avoir une famille, des ami(e)s. Et en me couchant le soir, savoir que je ne suis pas seule totalement au fond de moi-même et que je vais dormir en Paix. Peu importe que je me réveille ou pas demain, nous serions deux à partager le même état d'Esprit. Mais je ne crois pas. Je sais seulement que si je croyais, je suis convaincue de n'avoir plus aucun doute de croyance.

mardi 3 mars 2015

Marilyn Monroe était Borderline...

sUiCiDe

(Le meilleur pour la fin) ⇓

Cher Blog, depuis peu, j'ai appris que Marilyn était Borderline. Et là d'un coup, ça m'intéresse beaucoup car, à travers les autres, souvent on apprend à se connaître soi-même. J'aprends bien des choses sur elle que j'ignorais. Pour ne citer que quelques traits associés aux  "états limites", l'instabilité affective, la faible estime de soi et les troubles d'identité étaient très présents chez la star.

Et je cite:

"New York, 1955. Une femme à l'aube de la trentaine écrit une lettre à l'un de ses amis sur le papier à en-tête d'un grand hôtel : "En tant que 'borderline', je ne peux m'intéresser qu'à un autre 'borderline'." Ces mots ont été griffonnés par la blonde la plus célèbre de la planète. Dans Fragments (Seuil, 2010), Marilyn Monroe dévoile ses doutes, sa fragilité au travers de lettres, de poèmes, de notes... Borderline, la blonde mi-femme-enfant, mi-femme fatale, adepte de la psychanalyse? On note chez elle une instabilité émotionnelle avec de fortes angoisses d'abandon et des moments où elle disjoncte. De plus, elle est dépressive, très accro aux médicaments et multiplie les tentatives de suicide.""

La nuit du 4 août 1962, Marilyn Monroe a mis fin à sa vie remplie de dépression, mariages échoués, bébés perdus par fausses couches, large usage de prescriptions dangereuses de médicaments, et une tristesse personnelle que le monde entier ne voyait pas sous la surface brillante.

C'est comme ça. Personne n'a vu venir le jour  J fatidique sauf son psychiatre qui a eu un gros doute lors de sa dernière rencontre avec Marilyn. On dit que ce dernier, le Dr Ralph Greenson, avait suggéré à ses collègues qu'il croyait que Marilyn était schizophrène. Il a été dit que Marilyn semblait avoir "deux personnes à l'intérieur d'elle." Si en effet Marilyn avait quelque trouble de la personnalité par lequel elle logeait deux personnalités, il devient possible qu'une personnalité a incité le suicide afin de tuer l'autre personnalité. En d'autres termes, Norma Jeane a pu en effet tuer Marilyn.

Tout au long des sept dernières années de sa vie, Marilyn a subi de lourdes évaluations psychiatriques, et est devenue extrêmement dépendante de son psychiatre, durant les derniers mois de sa vie. Elle l'a même vu le dernier jour de sa vie, apparemment à la demande de Marilyn. Il était très inquiet de son état, suffisamment inquiet pour demander à la gouvernante, Eunice Murray de passer la nuit avec elle.

Il est bien connu que la maladie mentale était présente dans la famille de Marilyn Monroe, particulièrement chez la mère de famille. Sa mère a passé la majeure partie de sa vie en institution. Il est très possible que Marilyn ait hérité d'une forme de maladie mentale moindre que celle dont souffrait sa mère Gladys Baker.

Marilyn avait été malade pendant le tournage de "Something's Got To Give", et a souffert de problèmes de santé toute sa vie, particulièrement de problèmes gynécologiques.

Elle avait récemment perdu son travail et était poursuivie par le studio. La Twentieth Century Fox essayait également de manoeuvrer la presse pour donner le mauvais rôle à Marilyn. Ce qui lui a donné des problèmes importants d'argent. À un moment proche de la fin de sa vie elle a emprunté 5.000$ à Joe DiMaggio, comme montré sur la liste de ses dettes après sa mort, une liste qui était extrêmement longue. Elle est morte avec très peu d'argent à la banque.

Marilyn avait un problème bien connu de prescriptions de médicaments et été connue pour flirter avec la combinaison mortelle d'alcool et de comprimés somnifères.

Elle avait également eu trois mariages échoués, qui pesaient très probablement toujours fortement sur son esprit, son dernier divorce s'étant produit juste un an et demi avant sa mort. Et il y a également l'affaire avec JFK qui avait juste mal finie.

Ainsi nous pouvons voir que Marilyn avait un gros risque de suicide les derniers mois de sa vie, collant terriblement bien aux conditions.

De nombreuses tentatives de suicide de Marilyn sont enregistrées à divers moments de sa vie. Certaines des tentatives de suicide rapportées incluent:

- Deux tentatives à l'âge de vingt ans, rapporté par Marilyn à ses amis.

- Après la mort de Johnny Hyde, Marilyn a avalé vingt capsules de Nembutal et laissée une note de suicide, elle a été sauvée quand son professeur d'art dramatique Natasha Lytess l'a trouvée.

- Possibilité de jusqu'à trois tentatives de suicide pendant son mariage avec Arthur Miller, due aux dépressions suite à ses fausses couches - Miller documente ces derniers dans sa pièce, "après l'automne".

- Emmenée à l'hôpital pendant le tournage de "certains l'aiment chaud", en raison d'une overdose de somnifères.

La mort de Marilyn a été officiellement prononcée pour suicide probable par une équipe de recherche de suicide installée par le bureau du Coroner de Los Angeles. Ils ont fait un profil psychologique de Marilyn et ont conclu dans un accord avec le Coroner et les rapports de toxicologie: Marilyn a mis fin à sa propre vie.

Les diverses sources professionnelles, les médecins médicaux et les médecins psychiatres, arrivent tous à la même conclusion. La mort de Marilyn Monroe était un suicide probable.

Statistiques pas surprenants tant qu'à moi:

Il ressort que le taux de suicide ("accompli", "réussi") chez les patients souffrant d'un trouble état limite borderline est de 8% à 10% (1 / 10) alors que le taux de suicide aux états-unis (toutes populations confondues) est de 0.011% (1 / 10000) (source NIMH)

Le plus fort taux de trouble Borderline diagnostiqué, est entre l'age de 19 ans et l'age de 34 ans

10 à 20% des personnes souffrant d'une maladie de l'esprit ont un trouble de la personnalité borderline

L'age moyen du suicide chez les personnes souffrant d'un trouble état limite borderline est de 32 ans

Taux de suicide "réussi" de 10% des malades (tous ages confondus)

Taux de parasuicide (tentatives) de 73% des malades (tous ages confondus)

30 à 40% des suicides sont commis pas des individus avec un trouble de la personnalité (dont borderline)

Parmi les adolescents et jeunes adultes qui se suicident 33% sont borderline


Alors je te dis, mon Blog, je te confie en toute intimité, moi aussi, j'ai voulu plus d'une fois mettre fin à ma vie. Je fais partie, heureusement ou malheureusement, du 73% qui ont juste tenté. J'ai conduit pas très sobre, les larmes aux yeux et ne rien voir en avant de moi mais, la maudite rambarde ne s'est jamais présenté, le pont suspendu avec le lac froid non plus. J'ai mélangé morphine, antipsychotique et alcool en même temps jusqu'à ce que je m'évanouisse, recroquevillée sur le plancher de la salle de bain... J'ai pensé: " Je me demande si le plafonnier de la cuisine est assez solide pour m'y pendre?" Et si je continue à boire comme un trou et avaler toutes sortes de pilules, n'importe quoi, juste pour la jouissance que cela procure, je finirai sur une table, allongée, bien au froid... 

mardi 24 février 2015

Import export










Addiction

Bon ok. J'ai dit que je devais aller dormir. Alors, je dors. Je dors les yeux ouverts remplient de mélodies et de miel doré. Tout en sachant que demain est à présent. Oui je sais tout ce qui m'attend. Réveil difficile, pressée, pas le temps de boire un café, vite vite, faut y aller. Et malgré, je suis là à te parler. Pourquoi ne suis-je pas capable de lâcher prise? Bah, des gens disent souvent cette phrase en pensant à lâcher prise en amour, en amitié ou par rapport à la famille. Ici, c'est différent. Je n'arrive pas à lâcher prise sur l'éveil, l'alcool, la musique et l'écriture. Drogue, drogue, drogue et drogue. Comme le toxicomane, j'ai des addicts réellement consommables et d'autres sensorielles qui m'empêchent de dormir. Consommables... miel doré, pilules et sucre. Sensorielles... musique, ménage, écriture et insomnie. Me comprends tu? Connais-tu l'effroyable difficulté de te modérer? Le moment où tu te dis:" ok ce soir, juste 1 heure, pas plus. Juste une fois, pas deux." Et en même temps dans ta tête, tu te connais assez pour savoir que ce que tu es en train de penser, c'est de la foutaise. Tu n'y crois même pas. Tu ne te fais pas confiance. Là survient le regret, la honte, le mépris de soi. Pourquoi suis-je pas normal? Normal du genre, je dors depuis vingt-et-une heure. Et bien non. Il est quatre heures du mat et je t'écris et j'ai envie encore et encore de te raconter. Ok je viens de prendre une décision. Je termine mon addict consommable de miel doré et je vais m'allonger. Dormir? Peut-être. Au moins, j'éviterai d'augmenter mon sentiment de regret. À bientôt si la vie le veut.

Changements d'écriture

Cher Blog, je vais tenter de changer ma manière de discuter ici. Je voulais te quitter mais, je vais te garder près de ma bouche. Près de mes mots, près de ma folie. J'ai tant d'émotions qui meurent trop souvent dans ma gorge. Je sais que j'ai des problèmes mentaux. Je sais que je ne suis pas comme la majorité des gens. Tu dois le savoir. Je suis "borderline". Mes parents ne savent pas ce que c'est. Je n'ai jamais partagé avec eux, sérieusement, la maladie que je suis. Et pourtant, je crois que ma mère en est atteint aussi, mais elle, elle n'en sait rien. Elle ne comprendrait sûrement pas. Elle croit que toutes les maladies physiques et mentales sont toujours le fruit de notre imagination... Enfin, je réalise combien tu es important dans ma vie. Je t'ai et je vais te livrer mes secrets les plus intenses, les plus pervers, les plus discutables. À bientôt. Je dois me résigner à me coucher. Je n'en ai pas envie. Je ne m'endors pas mais, je dois me lever tôt demain. Bonne nuit ainsi va la vie.

dimanche 15 février 2015

Calme

Mais pourquoi la musique est si importante dans ma vie? Je crois avoir déjà créé un billet sur le sujet mais, je me pose encore des questions. Je me sens pas normal d'avoir un lien si unique avec la musique. Quand je suis stressée et énervée, c'est vraiment un bon moyen de me calmer. Je ne sais pas pourquoi vraiment. Il y a surement quelque chose de psychosomatique dans le fait qu'écouter une mélodie, peut calmer la tempête en moi. Et vous? Croyez-vous qu'il est possible réellement que quelques mélodies puissent affecter les émotions d'un humain?



Que ce soit une musique douce ou une musique rythmée, j'y trouve mon compte. Au fil du temps, des années, la musique a toujours joué un rôle super important dans ma vie. Plus petite, aux alentours de 7 ou 8 ans, je me rappelle me réveiller la nuit et apercevoir ma mère en train de cuisiner en écoutant du Elvis et du Connie Francis. Ça m'a toujours marqué. La nuit, elle cuisinait et écoutait de la musique et le jour, elle écoutait aussi de la musique...



Mais moi dans tout ça, j'ai besoin de cette drogue. Bon c'est sure, c'est pas efficace pour m'endormir, mais ça m'aide à respirer par le nez. Ça m'aide à sourire. Ça rend mes jours sombres, ensoleillés. Ça me fait oublier le temps qui passe. Le temps noir du présent.



http://youtu.be/Yb4qI7j3jZ8

... il est vraiment rendu tard et là je dois aller me coucher. Il est rendu 4:30 du matin. Je dois me lever vers 8:30. Je vous laisse sur un vidéo joyeux. Pour vous faire danser un p'tit peu. N'oubliez-pas d'écouter de la musique! Ça calme l'esprit et rend heureux!

mercredi 11 février 2015

40 ANS, C'EST LE NOUVEAU 30 ANS !

Si avant nos 40 ans rimaient avec famille nombreuse, boulot et vie bien tranquille sur le chemin de la maturité, désormais, avoir 40 ans ressemble à tout autre chose. Plus que jamais, c’est la fleur de l’âge pour les femmes qui après avoir passé 10 ans à essayer de se construire prennent enfin le temps de profiter. 40 ans, c’est le nouveau 30 ans !

On est enfin autonome

L’entrée dans la vie professionnelle se fait de plus en plus tard : diplôme à 25 ans, passage obligé par les longues périodes de stages et/ou de contrats précaires... si avant, une carrièreétait en général plutôt bien entamée à 30 ans, il faut aujourd’hui attendre la quarantaine pour décoller. Du coup, on acquiert aussi son indépendance financière de plus en plus tard. Ce qui implique qu’on peut vivre en coloc à 30 ans... alors qu’à 40 ans, à priori, on a enfin fini de rembourser son prêt étudiant et on peut arrêter de demander aux parents d’arrondir ses fins de mois.

C’est le bon moment pour : devenir propriétaire.

40 ans, l’âge parfait ?

On a passé les galères pratiques de la trentaine (s’installer, gagner sa vie, jongler entre boulot, enfants...) sans pour autant connaître encore les angoisses existentielles de la cinquantaine. En effet, avant, la « middle life crisis » (crise du milieu de vie) se faisait vers 40 ans pour les femmes, mais désormais, c’est plutôt vers la cinquantaine qu’elles envoient tout balader. À 40 ans, libérée de la pression parentale, des galères professionnelles... on s’affirme, et on ose ! C’est l’image de la quadra décomplexée, qui bosse, a payé sa maison et conservé l’envie de faire des soirées pyjamas avec ses copines.

C’est le bon moment pour : profiter de ce qu’on a, sortir et penser à soi.

Les premiers enfants

Il est loin le temps où les femmes qui maternaient plus tard que la moyenne se faisaient regarder de travers. L'âge moyen du premier bébé pour une femme ne cesse de reculer, pour s'établir aujourd'hui après 28 ans. Et de plus en plus de femmes sont mères après 40 ans : 27 000 aujourd’hui contre moins de 8 000 il y a 20 ans. La médecine y est évidemment pour beaucoup, et les grossesses tardives sont encore surveillées de près.

C’est encore le bon moment pour : faire un bébé !

L'avis de l'expert : Serge Hefez, psychiatre et psychanalyste

« Il y a vingt ans, la quarantaine était l’entrée dans la vieillesse, on attendait tranquillement de devenir grand-mère. Aujourd’hui, la femme de 40 ans se sent encore belle, jeune et, cerise sur le gâteau, elle s’est débarrassée de tous ses complexes. La vie lui appartient. Elle a profité de sa trentaine pour construire son foyer, s’installer dans sa vie professionnelle, apprendre à gérer les deux. À 40 ans, elle est enfin rodée. Elle a compris les rouages du système et elle n’est qu‘à la moitié de sa vie. »

http://www.marieclaire.fr/,femme-40-ans,20258,438267.asp

Vos 40 ans : les principales transformations du corps

Vos 40 ans : un guide de santé à l'intention des femmes


Chaque fois que nous passons à une autre décennie, que ce soit 10, 20, 30 ou 40 ans, dans notre tête, c'est comme si nous venions de franchir une autre étape importante de la vie. Mais pourquoi le seuil des 40 ans semble-t-il si différent? Pourquoi avons-nous l'impression qu'à la quarantaine, nous venons d'atteindre le sommet de la colline et que nous ne pouvons que redescendre dans la vallée du vieil âge? Pour résumer la réponse en un mot et un seul : l'œstrogène.

Chez les femmes, le choc de la quarantaine vient essentiellement du fait que cette décennie correspond à la baisse de leur fertilité. C'est à cet âge que beaucoup de femmes entrent dans la phase de la périménopause, les années qui les mèneront à la vraie ménopause. Certaines femmes passent très rapidement à la ménopause en à peu près 2 ans, tandis que d'autres ressentent des changements discrets et plus évidents au fil des années, voire de 10 ans.

Durant la périménopause, le taux d'œstrogènes fluctue, ce qui déclenche une modification des menstruations - parfois elles sont plus légères, ou plus courtes, d'autres fois plus intenses ou plus longues. Les intervalles entre les règles peuvent aussi changer, et auront tendance à être différents de ceux d'avant. Quand l'ovulation devient irrégulière, il est plus difficile de devenir enceinte. Si deux tiers des femmes de plus de 40 ans ont des problèmes de fertilité, celles qui sont enceintes font aussi face à un risque plus élevé de complications (hausse de la tension artérielle ou diabète durant la grossesse) fausse couche, déficiences de naissance, et faible poids à la naissance.

Ces fluctuations hormonales peuvent entraîner dessymptômes liés à la ménopause, notamment des bouffées de chaleur et des troubles du sommeil, avec ou sans sueurs nocturnes. Des sautes d'humeur, une irritabilité et de la dépression peuvent aussi se manifester, mais elles sont plutôt liées au stress ou au manque de sommeil qu'aux fluctuations hormonales.

La chute des œstrogènes peut causer une perte de la lubrification vaginale, ce qui risque de rendre les relations sexuelles difficiles, parfois même douloureuses, tout en exposant davantage la femme aux infections du vagin et du tractus urinaire.

On a aussi établi un lien entre la perte d'œstrogènes et la perte osseuse, d'où la grande importance de soutenir vos os par l'entraînement en force musculaireet la prise d'un supplément de calcium adéquat (1 000 mg par jour). Par ailleurs, plus le taux d'œstrogènes tombe, plus le risque de maladie cardiovasculaire peut augmenter, en raison de la consommation exagérée de mauvais cholestérol, de la diminution d'élasticité des artères et de l'accumulation de graisses abdominales.

La graisse abdominale - appelée familièrement « bedaine » - peut faire augmenter chez la femme le risque de maladie du cœur, de diabète et de cancer. Il s'agit en plus d'une graisse tenace, car, même en faisant régulièrement de l'exercice, il peut être difficile de contrôler cette partie de votre corps et votre poids global. Cela peut s'expliquer par le fait que le besoin en calories de la femme change en vieillissant, même si son niveau d'activité physique ne change pas. Le métabolisme de base ralentit peu à peu tous les 10 ans, de sorte qu'il faut de plus grands efforts pour brûler la graisse.

Perdre de la graisse n'est pas un simple souci d'esthétique, pas plus que certains autres changements d'apparence chez la femme qui prend de l'âge. Les signes de vieillissement risquent de devenir plus visibles, comme les rides, la sécheresse de la peau, le relâchement de la peau autour du cou, les plis autour des yeux et de la bouche. Les poils et les cheveux peuvent blanchir ou grisonner et devenir plus fins.

Dans la quarantaine, la femme peut aussi observer un changement d'aspect de ses seins. Les seins sont constitués de tissus gras et ne contiennent pas de muscles. C'est un réseau sous-jacent de tissus conjonctifs, appelés ligaments périphériques supérieurs, et le port d'un soutien-gorge bien adapté, qui soutiennent les seins. En prenant de l'âge, les ligaments se détendent, ce qui rend les seins flasques.

Lorsque nous entrons dans la quarantaine, nous sommes aussi préoccupées par toute une série d'autres facteurs de risque pour notre santé. L'arthrose, une affection des articulations qui touche habituellement les hanches, les genoux, les pieds et la colonne vertébrale a tendance à se manifester dans la quarantaine et la cinquantaine, même si elle peut survenir à tout âge. Le risque de cancer du sein, de l'ovaire et de l'utérus augmente aussi à 40 ans, et devient encore plus élevé, dans le cas du cancer du sein et de l'utérus, à la cinquantaine.

L'affaiblissement des muscles pelviens pourrait contribuer aux troubles urinaires comme l'incontinence. Chez certaines femmes, ces troubles découleraient d'une affection appelée prolapsus pelvien. Les femmes obèses ou qui ont eu des enfants sont plus susceptibles de faire un prolapsus pelvien. Par ailleurs, l'excès de poids peut augmenter le risque de fibromes utérins; il s'agit de tumeurs non cancéreuses qui se développent dans les années précédant la ménopause.

Étant donné toutes nos connaissances sur la façon de vivre une vie saine et de prévenir la maladie, les femmes n'ont pas à s'inquiéter d'avoir soi-disant atteint le sommet de leur vie. Découvrez les moyens de vivre votre quarantaine de façon éblouissante, en prenant le temps de lire Vos 40 ans : les habitudes santé.

dimanche 8 février 2015

La force des mots, vous en pensez quoi?

J'ai envie d'écrire. J'ai envie de dire. Depuis des heures, je cherche comment déposer des lettres pour former des mots. J'ai un besoin extrême de m'exprimer. Je dessine mal, je chante mal, je joue mal à la guitare. Que me reste t-il pour sortir de ce corps tous ses émotions?

Tous ces tourments qui détruisent mes joies. Je suis si triste et malade à la fois. Je fais des rêves. Des rêves qui m'empêchent de me réveiller au matin. Des images qui me suivent toute la journée venue. Et que dire de la musique? Musique? Qu'est réellement la mélodie qui sonne à nos oreilles et qui nous parfume l'esprit? Qu'en est-il de la réalité du moment présent? Des fois, non souvent, je me dis, non non pas une verre de plus. Et je compte... La canette arrive à la fin, je ne dois pas en prendre une autre. Je dois me lever demain matin pour mon fils, je ne dois pas en ouvrir une autre. Non pas une canette de Coke de plus car, ça voudra dire 4, 5 onces de rhum de plus.

La force des mots, vous en pensez quoi? Moi je crois que c'est comme un entrainement mental. Plus j'écris, plus je crie par écrit. Et depuis les 3 dernières années, j'ai flâné. J'ai pas été au gym. Je ne me suis pas entraîné, j'ai manqué à ma motivation. Celle d'exprimer autrement que par la colère, mes émotions instables.

Et dernièrement, j'ai lu un article qui m'a bouleversé. Est-ce que je dois vous le copier ici ou juste vous donner le lien? Si mon texte est trop long à lire, vous n'allez pas rester ici avec moi. Alors je vous laisse l'adresse (http://www.lesnerds.ca/je-suis-borderline/) et avec un peu de guillemets, je vous construit un autre paragraphe.

"Diagnostique: une personnalité en désordre."

"L’entre-deux mood: le «tout ou rien»"

"Impulsifs et spontanés, nous avons du mal à nous la fermer. Quand on parle, on déborde pis nos mots dégoulinent partout à terre. Des fois, ça fait des taches pis d’autres fois, c’est assez abrasif pour effacer toute la méchanceté du monde. La majorité d’entre nous se réfugient dans les arts quand la vie nous paraît étrangère. Notre langage, c’est l’expression et le ressenti. Nous sommes hypersensibles de nature."

"Le vide se pointe, lourd, sans prévenir après la douce lévitation d’un high. Fait qu’on remplit le trou par tous les moyens avec des excès divers. Alcool, bouffe, drogue, sexe, dépenses sur un coup de tête, conduite dangereuse…"

"Perfectionnistes, l’exigence nous pousse à viser toujours plus haut pour combler l’insatisfaction qu’on a envers nous-mêmes. Sauf que, quand on feel bien, le monde nous appartient et on se sent capable de tout."

"Malgré tous nos travers, nous sommes des personnes colorées et anticonformistes. Nous sommes des amis fidèles et des amoureux passionnés. Notre entourage s’ennuie rarement avec nous: toujours une anecdote cocasse à raconter parmi la pléiade d’événements qui compose notre vie rocambolesque. Nous faisons également preuve de beaucoup d’humilité et d’altruisme."



lundi 2 février 2015

Apparence

Maudit que je déteste cette page blanche du blog pour que je garde mon inspiration d'écrire. J'aimerais bien trouver un autre hébergeur pour blogger. Vous avez des idées? J'aimerais bien avoir de l'animation. Des choses qui bougent comme dans ma tête. Des éléments avec des couleurs que je peux changer. C'est un peu morose ce blog et ne représente pas totalement qui je suis. Qu'est-ce que vous pensez?



http://www.mytaratata.com/emission/taratata-n467/video/94/ayo-down-on-my-knees

mercredi 14 janvier 2015

L'essuie-glace, une invention américaine


À la fin du XXe siècle, les essuie-glaces sensibles à la pluie sont apparus sur différents modèles, l’un des premiers étant Park Avenue Ultra de Buick. Dès début 2006, les essuie-glaces à détection de pluie sont mis en série sur toutes les Cadillac, et sont disponibles sur de nombreux modèles de GM, Chrysler, Jeep, Peugeot, Citroën, Toyota, Mercedes, Renault et Honda.

mary-anderson-fig2.jpg
mary-anderson-fig1.jpgBien avant que Ford ne sorte son fameux modèle T et son volet coulissant, l’idée de l’essuie-glace a germé dans la tête d’une américaine. Mary Anderson inventa en 1903 et obtenu en 1905 un brevet pour l’invention d’un dispositif de nettoyage des pare-brises. Son invention pouvait nettoyer la neige, la pluie, les giboulées à l’aide d’une poignée à l’intérieur de la voiture.Au cours d’un voyage à New-York, elle remarqua que, durant les tempêtes, les chauffeurs de tramway devaient sortir leur tête par la fenêtre pour voir la route. Elle décida qu’il fallait leur simplifier la conduite en améliorant leur vision. Son invention consistait en un dispositif à balancier avec des lames en caoutchouc. Grâce à un levier, situé à l’intérieur du véhicule, le conducteur faisait bouger les lames. Mary Anderson venait d’inventer les essuie-glaces : les windshields.

charlotte-bridgwood.jpgEn 1916, son invention fut montée en série sur toutes les voitures américaines.
charlotte-bridgwood.jpgUne autre inventeur, Charlotte Bridgwood, inventa les premiers essuie-glaces automatiques. C. Bridgwood, présidente de la Bridgwood Manufacturing Company of New York, breveta, en 1917, son rouleau électrique appelé Storm Windshield Cleaner. Toutefois, son produit ne fut pas une grande réussite commerciale.

L’essuie-glace, une invention américaine | Witch of the City

Droit des animaux - Citations

 « On n'a pas deux cœurs, l'un pour l'homme, l'autre pour l'animal… On a du cœur ou on n'en a pas ».
Lamartine, écrivain

« Le Monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui le regardent sans rien faire ».
Albert Einstein

« La grandeur d’une nation et ses progrès moraux peuvent être jugés par la manière dont elle traite les animaux ».
Gandhi

« La chasse est le moyen le plus sûr pour supprimer les sentiments des hommes envers les créatures qui les entourent ».
Voltaire (1694-1778), écrivain

« Je crois que l’évolution spirituelle implique, à un certain moment, d’arrêter de tuer les êtres vivants que sont les animaux, simplement pour satisfaire nos désirs physiques ».
Mahatma Gandhi, prix Nobel

« Chaque fois que la corrida avance, c'est l'humanité qui recule ».
Francis Cabrel, chanteur

« La corrida, ni un art, ni une culture ; mais la torture d'une victime désignée ».
Émile Zola, écrivain

« Le jour où les humains comprendront qu’une pensée sans langage existe chez les animaux, nous mourons de honte de les avoir enfermés dans des zoos et de les avoir humiliés par nos rires… ».
Boris Cyrulnik
  
« Si la cruauté humaine s'est tant exercée contre l'homme, c'est trop souvent qu'elle s'était fait la main sur les animaux ».
Marguerite Yourcenar

« De l'assassinat d'un animal à celui d'un homme, il n'y a qu'un pas ».
Léon Tolstoï, écrivain


« Tout ce verbiage sur la dignité, la compassion, la culture ou la morale semble ridicule lorsqu’il sort de la bouche même de ceux qui tuent des créatures innocentes, pourchassent des renards que leurs chiens ont épuisés, ou même encouragent l’existence des combats de taureaux et des abattoirs. Toutes ces explications, selon lesquelles la nature est cruelle et donc nous sommes en droit d’être cruels, sont hypocrites. Rien ne prouve que l’homme soit plus important qu’un papillon ou qu’une vache. Je considère le fait d’être devenu végétarien comme la plus grande réussite de ma vie. Je ne prétends pas sauver beaucoup d’animaux de l’abattoir, mais mon refus de manger de la viande est une protestation contre la cruauté… Personnellement, je ne crois pas qu'il puisse y avoir de paix dans ce monde tant que les animaux seront traités comme ils le sont aujourd’hui ».
Isaac Bashevis Singer

  

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